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Wednesday, April 27, 2011

Letters from France

Il ya seize ans, j'ai quitté ma maison en France. C'est vrai, ma maison. I had been living there, serving an LDS Mission for two years. Je vivais là-bas, au service d'une mission LDS pendant deux ans. Cette semaine, après une épiphanie surprenant au travail, je me suis retrouvé les souvenirs de si longtemps. Je n'étais pas en France en tant que touriste, je n'ai donc pas recueillir beaucoup, sauf quelques babioles, beaucoup de photos, et quelques lettres. D'une certaine manière, dans le fouillis de la vie, ces choses chères avaient trouvé leur place dans un bac en plastique, cachée profondément dans le fond de mon garage. La nuit dernière, bien que fatigué par une longue journée, j'ai pris le temps de les sauver.

Les lettres. Fascinant mots écrits pour moi à une époque où l'internet était à ses balbutiements et que l'art de l'estampage une enveloppe a été aussi honnête que le soleil. Ils sont longs, manuscrite, scénarisé travaille avec soin de la beauté. Leurs significations et les messages me rendait triste. I miss France.

Les sons, les odeurs, les aliments-oh, la nourriture, les traditions, les fêtes, presque tous les jours, semblait-il, l'art, l'histoire, et le peuple. Oui, le peuple. Dites ce que vous allez sur le français, j'ai trouvé les gens qu'il y ait admirablement agréable. Tout comme les États-Unis, il ya une ménagerie de cultures mêlées toutes les personnes vivant là-dans les petites, à des endroits éloignés, la recherche d'une vie paisible. En 1993, un ans American mec dix-neuf qui aimait le surf et U2, se joignirent à eux.

Il ya une raison pour laquelle je vous écris ceci en français. Au contraire, je vous écris en anglais et le traduire en français. Ce message n'est pas sur l'écriture. Ça parle de moi. Si vous parvenez à lire ce texte, le prendre comme ça. Je ne cherche pas à raconter une histoire au sujet de mon livre, ou d'en parler par écrit. Ceci est mon plaidoyer pour le monde. Si la technologie peut jouer un rôle, je suis en lui demandant de prendre part à m'aider. Je m'ennuie de certaines personnes en France. Je veux leur parler, leur écrire, leur dire ce qui s'est passé dans ma vie, partager avec eux combien j'ai changé, et surtout, de les connaître. J'ai promis à certaines personnes là, je ne les oublierai pas. Je n'ai jamais fait. En fait, je pense à eux tout le temps. Aujourd'hui, révèlent des mots de l'histoire m'a rappelé ma responsabilité de ces promesses.

Pendant huit mois, j'ai vécu dans une petite ville appelée Chartres. La plupart des gens qui ont entendu parler de lui, il sait de la cathédrale. Je le sais pour la famille Zobiri. Ils signifiait beaucoup pour moi alors, et encore une grande signification pour moi maintenant, mais seulement à travers les souvenirs. Je voudrais pouvoir les trouver.

Après Chartres, j'ai été transféré dans une ville appelée Troyes. Là, j'ai rencontré la famille Cerda. Peu de gens ont eu la chance de savoir que la famille comme je le faisais. Je souhaite aujourd'hui je les connaissais.

Au fil des ans, j'ai perdu le contact avec ces familles. J'ai beaucoup déménagé, augmenté mon plaisir propre famille, et a passé quelque temps en recherchant l'excellence dans une importante société. Je ne les ai jamais oubliés. S'il y avait eu un moyen à l'époque, je l'aurais retourné vivre en France pour passer votre vie là-bas, juste pour être près de ces deux familles, c'est à quel point ils signifiait pour moi. Il n'était pas possible, à regret, et même quand je suis retourné en vacances en 1997, les voyant ne figurait pas sur l'itinéraire prévu.

Avec les lettres, j'ai trouvé un vieux carnet d'adresses. Je ne sais pas si ces familles sont toujours au même endroit, mais je vais leur écrire-sur papier. Ce message est destiné à ces familles: Je ne vous ai pas oublié. Je suis ici. Poster un message si ces mots vous joindre.

Pour toute autre personne qui parvient à traduire ce ou comprend. Merci de partager un moment à l'intérieur de mon âme.

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